Daguerréotype, Calotype, Papier salé, Albumine, Collodion, Cyanotype, Van Dycke, Charbon, Gomme bichromatée, Platine / Palladium, tirages manuels, pièce unique…
NOTE D’INTENTION:
L’un, Jean François Cholley est photographe, l’autre, Christine Bévilacqua, plasticienne.
Au fur et à mesure du regard porté sur le travail de l’autre, leur est venue l’idée de susciter un va et vient entre deux oeuvres dans un diptyque. Confronter deux regards sur un même sujet, l’arbre, pour un troisième regard : celui, poétique, du regardeur.
Dans l’optique d’une exposition et d’une publication. Format choisi d’avance ( 20X50cm ) vertical, oblong en lien à la verticalité de l’arbre. En son centre une oeuvre, centrée, de petite taille (par exemple 6X12cm). Chaque pièce est unique et non reproductible.
Importance de la taille du visuel pour inciter le spectateur à regarder de très près et à se questionner.
Cette distance inhabituelle aux oeuvres empêche une vue d’ensemble et oblige à passer de l’une à l’autre. De manière inconsciente le spectateur utilise son cerveau droit et son cerveau gauche, ce qui modifie sa perception par polarisation du cerveau droit et du cerveau gauche jusqu’à pouvoir espérer induire une autre image jusqu’alors invisible.
Le regard de l’homme sur l’arbre a changé aux cours des années (chacun de nous deux travaille sur l’arbre depuis longtemps) et au-delà du discours politique ou écologique, l’arbre est maintenant considéré comme un être vivant.
Pourtant, bien avant ce déplacement du regard, la plupart des mythes fondateurs de l’humanité étaient centrés sur l’arbre, dont la verticalité questionne ou inquiète l’homme. L’arbre induit la notion de temps, de rythme des saisons, de vie et de mort. L’homme s’est construit contre les forêts qui étaient là bien avant lui.
«L’histoire de l’homme appartient aux clairières qui correspondent au propre et au figuré à la réalité de la conscience humaine» Robert Harrison Forêts Essai sur l’imaginaire occidental.
EXPOSITION À SERRES LEZ’ARTS vendredi 20, samedi 21, dimanche 22 septembre 2024
EXPOSITION À SERRES LEZ’ARTS vendredi 20, samedi 21, dimanche 22 septembre 2024
Sur le thème de l’arbre…
Photographies techniques du XIX siècle Oeuvres uniques de JF Cholley
Daguerréotype, Calotype, Papier salé, Albumine, Collodion, Cyanotype, Van Dycke, Charbon, Gomme bichromatée, Platine / Palladium, Héliogravure,Tirages aux encres grasses, tirages manuels, pièce unique…
Monotype de Christine Bévilacqua
https://www.serreslezarts.fr/wp-content/uploads/2024/02/SLZ_Expos_2024_Catalogue_WEB.pdf
ARLES 2023 EXPOSITION du 10 au 17 juillet
NOTE D’INTENTION:
L’un, Jean François Cholley est photographe, l’autre, Christine Bévilacqua, plasticienne.
Au fur et à mesure du regard porté sur le travail de l’autre, leur est venue l’idée de susciter un va et vient entre deux oeuvres dans un diptyque. Confronter deux regards sur un même sujet, l’arbre, pour un troisième regard : celui, poétique, du regardeur.
Dans l’optique d’une exposition et d’une publication. Format choisi d’avance ( 20X50cm ) vertical, oblong en lien à la verticalité de l’arbre. En son centre une oeuvre, centrée, de petite taille (par exemple 6X12cm). Chaque pièce est unique et non reproductible.
Importance de la taille du visuel pour inciter le spectateur à regarder de très près et à se questionner.
Cette distance inhabituelle aux oeuvres empêche une vue d’ensemble et oblige à passer de l’une à l’autre. De manière inconsciente le spectateur utilise son cerveau droit et son cerveau gauche, ce qui modifie sa perception par polarisation du cerveau droit et du cerveau gauche jusqu’à pouvoir espérer induire une autre image jusqu’alors invisible.
Le regard de l’homme sur l’arbre a changé aux cours des années (chacun de nous deux travaille sur l’arbre depuis longtemps) et au-delà du discours politique ou écologique, l’arbre est maintenant considéré comme un être vivant.
Pourtant, bien avant ce déplacement du regard, la plupart des mythes fondateurs de l’humanité étaient centrés sur l’arbre, dont la verticalité questionne ou inquiète l’homme. L’arbre induit la notion de temps, de rythme des saisons, de vie et de mort. L’homme s’est construit contre les forêts qui étaient là bien avant lui.
«L’histoire de l’homme appartient aux clairières qui correspondent au propre et au figuré à la réalité de la conscience humaine» Robert Harrison Forêts Essai sur l’imaginaire occidental.
Petit rappel historique
(En vrais nous sommes aujourd’hui le 3 mai 2022 il est 23h 10)… Mon blog et mon site web ayant disparu accidentellement en 2019, suite à l’incendie de mon hébergeur OVH… j’essaie de remettre en ligne aujourd’hui, le début de cette histoire que j’avais commencée le 3 février 2008 par hasard, juste après mon voyage en Inde, avant la mort de ma mère et la naissance de ma fille Elsa… pour des raisons affectives il est important pour moi, homme sans mémoire, de le reconstituer à partir de ces pages retrouvées et de mes photos sur planches contact .
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Avignon le 11 janvier 2009
RÉFLEXION SUR LA PHOTOGRAPHIE ARGENTIQUE VOEUX 2009
Avignon 11 janvier 2009, toutes ces actualités, tous ces voeux et toutes ces photos numériques, ont suscités en moi quelques réflexions…
– envoyer ses voeux – attendre que la paix revienne – attendre la neige – trouver un film vierge – charger l’appareil – sortir – attendre qu’il se passe quelque chose – rentrer – des questions plein la tête – demain comment photographier sans surface sensible – comment vivre en restant sensible – sensible: susceptible d’éprouver des sensations – sans images latentes – l’attente – attente: prêter attention, souhait non formulé – attendre pour développer – attendre pour révéler – c’est dans cette attente que se forment et se déforment les images – c’est dans le souvenir qu’elles s’idéalisent et qu’elles s’interprètent – que sera la photo sans cette attente – sans cette gestation – sans ces disparitions de la lumière à l’ombre
– sans le négatif – sans le positif – sans ces oublis nécessaires à la mémoire – inconscient – le film, dans sa petite boite enroulé – pris dans la spirale du processus de développement – bains – température – tension entre les pinces plombées – coupe du ciseau – le risque de blessure est grand – puis choisir – tirer – interpréter – ballet de petites mains – « mudras » compliqués de trous et de masques – de retenir et de laisser passer – d’ajouter et de soustraire – de passages tragiques dans le noir – de pertes de repères – de pudeur de naître dans cette obscurité – de mythes archaïques – de cavernes – de peur du rien – qu’il n’y ait rien – que le révélateur n’ait rien révélé, que le fixateur n’ait rien fixé – que l’image n’ait rien à te dire – que les paroles soient vides – toujours les mêmes peurs, après tout ce chemin – la vie continue – mes voeux arrivent enfin – pleins de questions, de tendresses et d’espoirs mêlés – la neige à fondue –
jean-françois Cholley. Photographe
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22 janvier 2009
SOIS CE QUE TU ES – INDE/SUD
Souvenir c’était en JANVIER & FEVRIER 2008
2 MOIS DE VOYAGE EN INDE DU SUD AVEC MARIE….. UN DIAPORAMA DE 7″ LE 13 MARS 2009 AU FESTIVAL DES GLOBES TROTTERS SALLE BENOIT XII A 20H A AVIGNON ET UNE EXPO A MON ATELIER EN MARS AVRIL 2009 A AVIGNON…
Renseignements mail:jfc@photographie-cholley.com
. Je me souviens des bus fous qui nous emportaient, des couchettes trop courtes des trains, des sourires qui nous ressuscitaient, de la ferveur de leurs prières… Je me souviens des mains applaudissant le soleil se levant à Kanyakumari, des disputes avec Marie, des cathédrales inversées taillées dans le granit d’Ajanta il y a 2000 ans, de l’odeur de l’encens, de la pisse, du bruit incessant des klaxons… Je me souviens de la sérénité des chants, de la vie qui recommençait …
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GARDER SA MERE
l
APT
23 janvier 2009
GARDER SA MÈRE
famille désunie
GARDER L’AMER
écrire son « blog »
UNE BOUTEILLE A LA MER
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J’écris avec mes fautes
LA RANDO DE GEORGETTE SANS GEORGETTE
– Avec les moufles de sa tante qui l’a élevé et qui l’a beaucoup aimé –
DANSE. Avignon en février, les « Hivernales de la Danse »…
Images transfigurées.
Le spectacle de danse est pour moi, un espace de travail sur le temps, un terrain d’expérience à chaque fois nouveau et inconnu, prétexte à rechercher et à expérimenter…
– Oubliant les valeurs du beau, du nécessaire, me laissant guider par mon intuition, je laisse mon obturateur ouvert pour qu’il capture autre chose que la perception de mon mental.
– Beaucoup plus tard, après être passé par le sas de mon laboratoire, je détruis pour reconstruire à partir des traces laissées sur la pellicule comme dans l’inconscient du spectateur… Alors des formes et des mouvement réapparaissent, se réorganisent… Je procède un peu comme le faisaient les surréalistes, laissant faire le hasard, en réinterprétant au tirage plusieurs images semblables et en retenant la plus significative…
– Je ne suis pas un photographe de danse, je photographie ma danse…
jean-françois Cholley
Certaines photos me remplissent de joies…
Mardi, il y à des jours ou je me sens seul, même à deux, même en groupe… je n’arrive pas à m’intéresser, je suis dans un autre monde… c’est très souvent comme ça en ce moment… et puis tout ces bavardages autour de moi et sur le web… inutiles… heureusement certaines photos me remplissent de joies… et je crois que l’on touche là un des privilèges de la photographie… l’ouverture à l’imaginaire, la capacité de se projeter, d’inventer un début et une fin à l’histoire…. je vous en envoie une, c’était en 2006…
LA NOUVELLE PHOTOGRAPHIE ANCIENNE
Je vais développer sur ce « blog » une réflexion personnelle et très subjective sur ce qui me touche particulièrement dans la vie, l’Art, l’Humain, le Cosmos, etc…. à travers mon expérience d’homme photographe, je vais aussi vous parler de divers procédés photographiques plus ou moins anciens que je pratique ou que j’enseigne…. A l’époque de ce grand chambardement numérique, se pose pour moi un problème éthique sur le sens de l’image et de la photographie en particulier…. Je pense développer sur un autre « Blog » tout ce qui touche à la technique des anciens procédés photographiques, ce que j’appelle la « nouvelle photographie ancienne »…. Mais je privilégierai d’avantage l’aspect esthétique à l’aspect technique…. ce ne serra donc pas un rendez vous de technicien photo, je veux simplement démystifier et donner envie de pratiquer…. mais toujours avec un certain recul et une réflexion sur le sens…. je précise que je parlerai ici, que d’images réalisées par la main de l’homme… notez bien que je n’ai aucun mépris pour les nouvelles technologies je les utilise aussi par ailleurs… A bientôt donc. (je vous communique l’adresse du blog sur « La nouvelle photographie ancienne très prochainement)
M’OUVRIR SUR LE MONDE
6 février 2009
AUTOPORTRAIT AU CHEVAL SANS CHEVEUX
© « DANIEL » au déclencheur
Je retrouve ce texte que j’ai écrit le 26 mai 2000 pour mon site web, je n’en change pas une ligne
jf Cholley
IL FAUDRAIT QUE JE M’ACTIVE
IL FAUT QUE JE M’OCCUPE DE MON SITE WEB, (www.photographie-cholley.com) MAIS JE NE SAIS PAS LE FAIRE…. ET PUIS JE PENSE A TOUTES CES IMAGES PARTOUT, TOUT CES COMMENTAIRES, TOUTES CES INFORMATIONS… TOUTES CES CHOSES INUTILES… ENVIE DE REPARTIR EN VOYAGE…
PARTIR ???? EST CE FUIR ??? RESTER ??? EST CE FUIR ???
AFRIQUE ????? REPARTIR ????
jean-françois Cholley