LA RANDO DE GEORGETTE SANS GEORGETTE
– Avec les moufles de sa tante qui l’a élevé et qui l’a beaucoup aimé –
Images transfigurées.
Le spectacle de danse est pour moi, un espace de travail sur le temps, un terrain d’expérience à chaque fois nouveau et inconnu, prétexte à rechercher et à expérimenter…
– Oubliant les valeurs du beau, du nécessaire, me laissant guider par mon intuition, je laisse mon obturateur ouvert pour qu’il capture autre chose que la perception de mon mental.
– Beaucoup plus tard, après être passé par le sas de mon laboratoire, je détruis pour reconstruire à partir des traces laissées sur la pellicule comme dans l’inconscient du spectateur… Alors des formes et des mouvement réapparaissent, se réorganisent… Je procède un peu comme le faisaient les surréalistes, laissant faire le hasard, en réinterprétant au tirage plusieurs images semblables et en retenant la plus significative…
– Je ne suis pas un photographe de danse, je photographie ma danse…
jean-françois Cholley
Mardi, il y à des jours ou je me sens seul, même à deux, même en groupe… je n’arrive pas à m’intéresser, je suis dans un autre monde… c’est très souvent comme ça en ce moment… et puis tout ces bavardages autour de moi et sur le web… inutiles… heureusement certaines photos me remplissent de joies… et je crois que l’on touche là un des privilèges de la photographie… l’ouverture à l’imaginaire, la capacité de se projeter, d’inventer un début et une fin à l’histoire…. je vous en envoie une, c’était en 2006…
6 février 2009
AUTOPORTRAIT AU CHEVAL SANS CHEVEUX
© « DANIEL » au déclencheur
Je retrouve ce texte que j’ai écrit le 26 mai 2000 pour mon site web, je n’en change pas une ligne